Brève description / annotation

Idée reçue #1 : l'analyse individuelle des crises est pertinente. Mise en avant des bénéfices de l'approche classique : simplification de représentation et facilité de prise de décision pour les décideurs dans l'entreprise. Problématique soulevée : manque de compréhension systémique et causale entre les risques : on rate l'effet boule de neige. Idée reçue #2 : La probabilité aide à déterminer les risques. Mise en avant des bénéfices de l'approche classique : permet une représentation logique et claire du réel. Proposition de progrès : s'en affranchir car basé sur des subjectivités et entraînant des priorisations erronées. Idée reçue #3 : La gravité aide à déterminer les risques. Mise en avant des bénéfices de l'approche classique : permet une représentation logique et claire du réel. Proposition de progrès : s'en affranchir car basé sur des subjectivités et entraînant des priorisations erronées. Idée reçue #4 : La centralisation du système de gestion des risques est l'organisation la plus pertinente. Mise en avant des bénéfices de l'approche classique : aisance organisationnelle et répartition aisée des tâches. Proposition de progrès : focalisation sur les conséquences négatives et sur les plans d'action et non pas sur la transformation. Problème de l'influence temporelle et d'une approche de résolution à court-terme. Idée reçue #5 : La gestion de crise est une discipline à part entière. Mise en avant des bénéfices de l'approche classique : créer du sens pour le top-management et permet l'expertise. Proposition de progrès : erreur systématique et manque d'homogénéité dans le traitement (effectué par des entités différentes). Conclusion : proposition d'un système complet alternatif et répondant à toutes les remarques précédentes.

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